L'absolue nécessité des racines. De s'ancrer. D'attendre son eau. L'absolue nécessité de se répandre, de se croiser les branches, de s'éventrer, de suivre les couleurs de la saison. Et le soleil donne, il paraît. Le recevoir, donc, nécessité.
L'absolu comme cœur embringué à nourrir tout ça avec passion.
Sinon il n'est plus le cœur dit-on.
L'absolu comme nécessité de mourir pour s'échapper.
Oh.