Irène et Nestor enchâssent chacun le récit de leur déroute, alarmant de maitrise dupée par la folie; Pierrot au milieu n'a plus de chandelle à tenir et tient une plume tout aussi imprettable.
À lire, c'est fou de langue, d'une poésie érigée en science exacte (Oh?), tant elle est intense sans jamais nous éloigner de ce qui se passe.
Encore, encore !
Ici le blog de l'auteur, et là le site de l'éditeur.
PS: ceci est le premier article d'une nouvelle rubrique qui m'a paru instantanément indispensable dés la fin de cette lecture.