La revue Microbe publie ces jours-ci son numéro n°100 (SANG). Un numéro de plus pour cette revue qui tient coûte que coûte à une forme de contagion que les obsédés du sanitaire peuvent forcément prendre en grippe. Je vais me calmer, ça fait déjà beaucoup de jeux de mots.
Mais un numéro présenté comme l'ultime, et déjà chroniqué en ce sens depuis des mois, où alors je n'ai rien compris. La revue était portée depuis l'origine par Paul Guiot et Éric Dejaeger.. chapeau à eux!
Bref, va falloir couper le cordon. Et je suis heureux d'avoir un petit poème dans cet ultime numéro, petit poème du coup bien nommé ça sent le boudin.