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Actualités de l'oeil - Page 6

  • Ma nouvelle "Mon beau miroir" est publiée dans le numéro de printemps de la revue en ligne Textimage

    revue textimage,publication de nouvelle,mon beau miroirMon beau miroir est le fruit d'une lente émergence. Je l'ai écrite une première fois il y a quatre ou cinq ans après la lecture d'une étude sur Talleyrand. Elle explore le rapport du politique à l'image et aux éléments de discours qui y sont liés. Cette nouvelle est au coeur d'un recueil de textes que je suis en train de terminer.

    Textimage est une revue de recherche créée par des gens charmants (merci Aurélie, merci Olivier, merci Pierre-Olivier!!) pour explorer le rapport texte / image, des enluminures à internet; un sacré sujet.

    Mon beau miroir est ici publiée sous une forme "diapositives". Il y a une centaine de diapos, aussi je vous conseille un verre de vin en accompagnement (si vous voulez je viens d'ouvrir un très bon Régnié 2007, à boire, et il y a de quoi remplir plusieurs verres encore), ou une infusion de sauge (le bol est à côté de moi, vide par contre), ou un maté (il en reste un fond dans la gourde que j'ai au boulot). Ou quelque chose comme ça.

    Bref, cette nouvelle a trouvé sa place dans le cahier d'artistes du numéro de printemps. J'avoue que je ne l'ai pas encore lu, il est tout neuf et je n'ai pas ouvert assez de bouteilles. D'autant que Mbm côtoie des choses plutôt musclées, sans compter - carrément - une nouvelle inédite de Didier Daeninckx (dont il 'faut' lire le dérangeant La mort n'oublie personne).

    Pour lire la revue, c'est par là que ça se passe

  • Enorme succès de "L'oeil" en librairie au singulier

    2006-03-Mauritanie024.JPGD'attachants et adorables libraires ont accueilli en bonne place il y a un p'tit bout de temps quelques exemplaires du merveilleux texte l'oeil (si si, que peut-on dire d'autre sans risquer les larmes...?) dont je suis l'auteur surpris et épanoui.

    Attention, l'oeil, c'est quand même un texte virage-et-carrefour, illustré, qui tiendra une place toute particulière dans un recueil de nouvelles que je suis en train de terminer; oui, je vois bien que vos sourcils commencent tout de même à réagir, que vous êtes pris en sandwich entre un sentiment de culpabilité qui refuse de dire son nom et la crainte sournoise de rater le coche de l'amorce d'un mouvement culturel de fond dont vous auriez pourtant pu être aux toutes premières loges, confortables qui plus est. Ne tardez pas, voyez, on paie toujours un jour ses réticences.

    Donc, ce billet, juste pour vous dire que la vente de l'oeil chez Coquillettes à Lyon 1er est un franc succès (preuve que la pub, ça marche!) car la pile est magnifiquement intacte, les livres parfaitement superposés sans avoir à déplorer la moindre perte, c'est dire le respect* des lecteurs nombreux et aguerris qui fréquentent le lieu; et je vous informe que ledit ouvrage n'est toujours pas en promo, ce qui montre que je suis sûr du produit comme du bon petit merlot ardéchois que j'ai bu ce soir. Parce que c'est beau les choses éternelles. Non mais.

    Les adorables libraires en question pourront d'ailleurs, car ils sont vraiment très gentils, vous passer commande de l'admirable revue Brèves mentionnée en colonne de droite, et ils ne vous en voudront pas de commander 3000 exemplaires du numéro 95 tout fraichement sorti. Parce qu'ils sont comme ça, la littérature, c'est leur passion, du moment que c'est vous qui déchargez le camion.

    De plus d'autres excellents libraires (je pense notamment à Ouvrir l'oeil à Lyon 1er et à Passages à Lyon 2ème pour rester lyonnais mais je peux vous certifier qu'il en existe aussi ailleurs) seraient probablement prêts, c'est inoui, avec la même abnégation excitante, à vous livrer le nombre de pallettes que vous leur exigerez chargées de ces mêmes délicieux ouvrages, et tant à venir de moi si Dieu le veut.

    Thomas

     

    * La dernière fois que j'ai pu observer par moi-même un truc de cette ampleur (tetetetetetete...) c'était lors d'un concert de Radiohead, aux Eurockéennes de MonDieu1997, alors que le clapotis de Creep retombait, que The Bends n'avait pas permis (et pourtant pour moi si) de faire décoller le groupe, quelques mois avant la sortie du monument "OK Computer". Alors justement Tom Yorke devant le parterre de quelques milliers de spectateurs très sages lâcha un très classe: "Thank you for respect". C'est vous dire pour qui je me prends maintenant. Vraiment, c'est important, achetez le bouquin ou je me mets à chanter.

  • Ma nouvelle "Les murs ne montaient pas jusqu'au ciel" va être publiée dans le n°95 de Brèves (anthologie permanente de la nouvelle)

    revue brèves,nouvelle,auteur,les murs,jusqu'au ciel,prison,écrivains,sens de la culture,perspective de l'art,publication de nouvelleLes murs ne montaient pas jusqu'au ciel se déroule dans la dernière prison du monde, qui n'enferme que des écrivains...

    Je suis super heureux de cette publication, Brèves, c'est pas rien !

    En plus ça tombe bien, Les murs ne montaient pas jusqu'au ciel est au coeur d'un long travail que je viens de finir, un double recueil thématique de nouvelles qui d'ailleurs n'en fait plus qu'un seul dédoublé, dont je vous parlerai un jour mais d'une manière plus claire...

    Le numéro 95 en question paraîtra dans les prochains jours. Brèves est disponible dans toutes les bonnes librairies de France et de Navarre, sur abonnement, ou par correspondance, là.




    < BREVES 95 (actualité de la nouvelle) >

    Nouvelles inédites de Philippe d’Amato,  Cécile-Marie Hadrien, Pascale Dietrich , Thomas P., Gilles Bertin, Anne Bourrel, Jean Faure,
    Dominique Lanni, Jean-Paul Chabrier, Eugène Chavette.
    Invité : Jacques Gaïotti

    ASSISES : Le mot "assises" qui titre ce volume est au cœur du sujet. Tout dans les intrigues de la nouvelle la tire vers ce qui fonde, vers ce qui – se plaçant a l’extrême de la singularité – est en même temps commun à tous, vers ce qu’il faut bien appeler tout simplement l’essentiel. Emois enfantins, fantasmes adolescents, engrenages dramatiques, quiproquos, dépendance, folie… autant de points de départ, d’appuis, d’enrochements du récit.

    Notes critiques, nouveautés, pages magazine.

    144 pages - format 12 x 22 - illustré - ISSN 0248 46 25 - ISBN 2916806-16-4

    Prix 12 euros

     

  • Cabaret poétique #5, quelques photos

    Quelques photos du chassé croisé oeil pour oeil avec Samantha Barendson hier.

    Merci à Philippe, Josette et Sophie pour les photos. Pour ne pas courrir le risque d'un procès sur les droits d'auteurs, je m'arrête aux photos de Sam et moi ! Un panorama complet à venir, je pense, sur le blog de Frederick Houdaer. Les autres artistes présents étaient: Paola Pigani, Yve Bressande, Stéphanie Lefort, Marie-Ange Sebasti, Serge Rivron

    Les photos, là. Et une, là:

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  • C'était tout à l'heure au Périscope

    cabaret poétique périscope

    Le Périscope tout à l'heure: accueil adorable par Frederick et Dimitri, lieu chaleureux au pied d'une prison-vestige. Grand merci à eux et à tout le monde !

    Je suis très heureux de la façon dont tout a fonctionné ce soir; ressenti personnel, je trouve que les textes se sont vraiment bien "rencontrés". Hélas, personne ne m'a dit le contraire, ce qui a tendance à m'alarmer.

    Bref, vous pouvez jeter un oeil sur le programme de cette lecture à deux voix sur le blog de ma collaboratrice de scène (Ouh, elle va aimer !).

    J'ajoute qu'au-delà de nous, ce cabaret était admirablement fréquenté; oui, je suis très fort pour les compliments.

    Merci à tous ceux qui sont venus, grâce à eux je ne me suis pas senti désarmé face à la population incroyable du fan club de Samantha. A suivre peut-être quelques photos pour les coeurs restés loin des yeux (j'ai pas pu caser sur scène tous les jeux de mots qui me sont venus !).

    Pour ceux qui ont aimé l'oeil, (le premier texte), vous le trouverez là en ligne. Il est également disponible en papier:
    - pour les lyonnais, faites un détour par l'admirable librairie Coquillettes, qui a plus d'un charme dans son sac, et entre autres celui de m'avoir gardé une place pour mon oeil;
    - pour les non-lyonnais, ça se complique à peine, c'est là qu'il faut aller.

    Pour suivre les prochaines actualités de mon oeil (il va y en avoir : j'ai à vous annoncer deux très belles publications de nouvelles dans les prochaines semaines), abonnez-vous à la newsletter d'ici-bas, ou bien faites de moi un ami sur facebook (cliquez sur le premier oeil du tas d'oeil ci-contre, oui c'est compliqué, mais c'est bien comme ça !).

    A bientôt !

  • Rappel, dans quelques jours... l'oeil se poste dans le périscope !

    PerdezLOeilDansUnBar.JPGEt pas tout seul, car il va y en avoir des yeux dans le tube, comme des boules de loto.

    J'espère que vous viendrez, vous, spécialement.

    Si, j'aimerais bien.

  • Mais venez, enfin, venez !

    Comme je vous le disais là, venez tous !
    Et la preuve maintenant avec l'affiche, vous verrez des anges !

    périscope, cabaret poétique #5

  • Le dimanche 20 février, l'OEiL se propose à vos rétines et tympans au Périscope à 17h

    bouche, oeilL'œil (voir ci-contre, comme on dit dans les vieux livres) va être lu en public.

    Et bien accompagné, en plus. En duo avec la grande poétesse Samantha Barendson (Pouet, comme elle dit, histoire de vanter ses talents de la façon la plus indiscutable), qui aura embarqué des textes qu'elle écrit en ce moment sur le même thème, et avec des vrais bouts d'espagnol dedans.

    C'est au Cabaret poétique, ouvert à tous, au Périscope (Lyon 2) le dimanche 20 février de 17h à 19h. Il y a évidemment d'autres gens à l'affiche (je mettrais à jour ce billet dés que j'aurais la liste officielle). Venez en masse y faire trainer vos rétines conquises à ma cause car je crains d'être emporté par la houle amoureuse du fanclub assoiffé de Samantha.

    Bon, j'ai un peu le trac, quand même.

    Donc faudra pas m'en vouloir si je ferme les yeux, hein.

  • Poekia, la revue des gens bien

    poekia revista graficaSamantha est une fille formidable. Elle pourrait se reposer sur ses lauriers ou le frémissement de son bout du nez contre l'oreiller à rayures pâles, mais non, elle entreprend des trucs invraisemblables.

    Le refus de l'anonymat

    C'est vrai, parfois on fait des choses qu'on enterre, alors qu'on peut très bien ne pas en faire et le montrer. Poekia, pour l'instant, c'est un peu ça : une revue virtuelle qui n'existe pas mais que sa fondatrice montre, sur la base de textes existants qui restent cachés.

    Ce n'est pas si compliqué d'être artiste. Bravo Samantha, on est très bien entre nous. Et le pire, parait-il, c'est que peut-être qu'un jour ce ne sera plus virtuel. Manquerait plus qu'on soit sur Terre pour réaliser nos rêves, tiens. Tiens. Tiens. Tiens ! Mais tiens, bon sang! (crescendo).

     

  • L'attente est longue

    DSCF7460.JPGLe métier de jeune auteur, ce n'est pas "écrire", c'est "attendre"! Pas au point de l'empêcher d'écrire, mais...

    Envoyer des manuscrits partout, attendre. Romans, nouvelles. Attendre. Celà fait partie du jeu, même si c'est perturbant d'avoir autant de textes dans lesquels on s'est engagés, qui circulent loin et sans écho. Et des fois, surprise ! Me voilà avec deux textes "présélectionnés" auprès de revues... à suivre !