Après Eve et l'ange, ou la gravité négociable dans le courant de l'été dernier, les Editions Abstractions ont publié le 27 avril "Du Chaos et de la bonne digestion des choses".
Déjà parus
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Du Chaos et de la bonne digestion des choses (Recueil)
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Eve et l'Ange (récit poétique)
Eve et l'Ange étrenne la collection "nouvelle" des Editions Abstractions.
Ce texte de 60 pages est un récit, celui d'une rencontre inattendue.
Texte facétieux sur les allers et retours des élans amoureux... sans compter diverses considérations sur le domptage et le rangement d'un ange dans une maison...
La couverture est magnifiquement illustrée par Jean-Christophe Stauder qui a créé pour l'occasion "La beauté sort du chaos".
Gros plaisir de partager ici le visuel très sensuel "Nadja" que Jean-Christophe avait aussi proposé et qui a failli l'emporter (agrandissez l'image, ça vaut le coup !).
Si vous voulez en savoir plus sur le texte:
- Une chronique de Catherine Ysmal sur son site d'auteur;
- Une chronique et une interview sur Blah-blah-blog;
- Une chronique de sieur Florent Toniello sur Acrostiches;
- Un épisode de rue poivre en accès libre ici sur le site de rue poivre (17 minutes). Lecture d'un extrait et discussion libre pleine de bonne humeur.
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Le dernier livre du monde (recueil de poésie)
Le dernier livre du monde (et courts propos annexes sur le rien qui suit en courant) parait en ce mois de mai aux éditions Gros Textes.
Sujet: la saturation, en 60 pages. Autant faire court !
Pour faire un peu plus long, vous en saurez plus, avec de la bonne humeur, dans l'épisode 2 de rue poivre.
Si ça vous dit, demandez-le à votre libraire... et en cas d'impossibilité, à l'éditeur :)
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"Jamais je n'aurais eu" parait dans la revue Pourtant n°2
Pourtant est une revue ambitieuse, graphique et textuelle. Vous croiserez dans ce numéro, pour photos ou textes: Durian Sukegawa, Emmanuelle Favier, Paola Pigani, Sandra de Vivies, Pauline Marzanasco, Julien Wecxsteen, Guylaine Monnier, Malo de Braquilanges, Marie-France Lesage, P.E. Cayral, Asling, Thomas Pietrois-Chabassier, Sylvain Forlet, Victor Malzac, Vincent Es-Sadeq, Robin Louise, Valéry Meynadier, Amélie Guyot, Patrick Uguen, Valérie Souchon, Marie-Philippe Deloche, Myriam Ould-Hamouda, Camille Ruiz, Jacques Cauda, Francis Malapris, Benoît de Brettes, Isabelle Clémenty, Richard Magaldi-Trichet, Marion Plumet, Mathieu Maysonnave, Lionel Laboudigue, Édouard Perarnaud.
La revue publie également mon poème "jamais je n'aurais eu" ; un poème érotique en plein air avec une table d'orientation. Je n'en dirai pas plus.
Plus d'infos et commande sur le site de la revue.
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"Ré volté es": dans Daïmon n°5, "Le Brunch des Généraux" (Théâtre)
"Ré volté es", Daïmon n°5 est bientôt là.
Avec des illustrations à couper le souffle, et des auteurs contemporains qui soufflent sur des noms et références à vertige... Annie Le Brun, Blaise Cendrars, Antonin Artaud, Anaïs Nin, Charmian London, Roger Caillois, Thomas Bernhard, Anna Maria Ortese, Boris Vian, Ursula Le Guin, Bona de Mandiargues, Béatrice Douvre, les poètes du Grand Jeu.
M'être senti tout petit bien sûr à l'idée de rendre hommage à Boris Vian... jusqu'à me souvenir son tordant et grave "Goûter des Généraux", où des généraux immatures et velléitaires s'embarquaient piteusement dans une guerre. Avant que de réaliser entre autre et in extremis qu'il importait du même élan de désigner un ennemi nécessaire. Cette pièce a été publiée quelques années après la mort de l'auteur par le Collège de Pataphysique en 1962 (illustrée par Siné) ; elle a été jouée à plusieurs reprises dans les années 60, semble t-il... mais j'ai peu d'éléments sur ce point.
Voici donc dans Daïmon 5 le "Brunch des Généraux" que j'espère aussi drôle, acide et absurde que l'originale... avec un titre plus inscrit dans l'époque (la nôtre)... L'intrigue demeure grave bien entendu : il s'agit d'une court martiale où comparait un homme mort au cinéma plutôt qu'au front... Toute ressemblance avec des personnes ayant existé ne pouvant relever que de la pure coïncidence.
Pour aller plus loin:
- Relecture conseillée de la pièce originale... ou pour l'ambiance... écoute possible ici d'une représentation de la pièce datant de 1965 !
- Visite du site de la revue, refait à neuf !
- Souscription encore ouverte pour le numéro 5. Il sera ensuite disponible sur commande ou dans un nombre croissant de librairies (Lyon, Nantes, Limoges, La Rochelle, Senlis, Amiens, Auvers sur Oise).
Ont contribué à l'écriture et à l'expression graphique de ce numéro : Juliette Choné, Ayda-Su Nuroglu, Elsa Ohana, Pierre Lebas, Athanor, Jean-Marc Baholet, Marc Valantin, Gilles Plazy, Valérie Rossignol, Amaury da Cauna, Olivier Maillard, Laurent LD Bonnet, Raluca Bélandry, Clément Kalsa, Raphaël Sarlin-Joly, Frédéric Aribit, Frédéric Rivella, et moi-même.
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"Ma dent" dans Teste n°39
Après "Le dentier" dans la revue Pourtant, "Ma dent" s'infiltre sans carie dans la revue Teste de ce mois de septembre en compagnie de plein de molaires, canines et incisives de gros calibre. Teste, qui se présente comme un « véhicule poétique », nommée en référence au personnage éponyme de Paul Valéry, est publiée par l'association Paroles d'Auteur sous la houlette de Cédric Lerible. Elle en est à son 39ème numéro.
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"Le dentier" parait dans le numéro 1 de la revue Pourtant (nouvelle)
La revue littéraire et photo Pourtant vient de publier son premier numéro, avec une quarantaine d'auteurs et photographes au menu de la banquise de couverture. Une maquette et une réalisation ambitieuses, une équipe, dont l'ami Gilles Bertin, qui se renforce autour de la publication en perspective du numéro 2.
« Le dentier », une histoire de chat qui vit seul... au milieu des dangers insoupçonnés d'une maison de village, depuis le départ de sa maîtresse pour la maison de retraite, y figure.
Longue vie à Pourtant !
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"Punctum Big Band" dans DAÏMÔN 4 (nouvelle)
La revue DAIMON fondée par Raluca Belandry publie déjà ces jours-ci son numéro 4 intitulé « Albums ». Autour de l'auteur Guylaine Monnier apparaissent des textes et illustrations de Clément Kalsa, Matt Bed, Vincent Guillier, Pierre Troullier et Belinda Cannone. J'y met mon grain de sel avec « Punctum Big Bang » : un texte sur le mouvement, la volonté, un petit point dans un paysage et le Big Bang. Tout cela à la rencontre d'une phrase de ma fille notée il y a quelques années dans un calepin, d'un proverbe africain de la tribu Igbo (du coup, hop un masque qui change un peu de nos quotidiens), d'une phrase tirée comme un éclair du film « l’Éveil » de Penny Marshall (et donc du roman d’Oliver Sacks) et... bien sûr du sujet central de ce numéro 4 de la revue, le « punctum »*.
Réjouissant de relier ce qui n'y est pas prédestiné.
* « Le punctum d’une photo, c’est ce hasard qui, en elle, me point (mais aussi me meurtrit, me poigne). » - Roland Barthes, La Chambre Claire
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29 minutes de silence (ou presque)... "Petite Princesse du Silence" est parue chez 15K.fr :)
A ce qui se fige. A ce qui fourmille.
A un titre angélique j’ai accroché une nouvelle sur la musique et le silence. L’absence, l’effacement. Mais aussi le passage, la médiation, la maturation, le point de bascule.
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Du silence à la mélodie, de la mélodie au silence, il y a en quelque sorte tout le cheminement, tout le va-et-vient... ou la démarche univoque... d’une vie.
Tel que je le vois, Jean-Louis a probablement conscience de cela depuis toujours. Une conscience aveugle et sans doute un peu mélancolique.
Lorsqu'un soir il croise dans un bar un vieil homme bavard, c'est toute la suite de son chemin qui lui apparaît: à la fois dans son évidence et dans son mystère déstabilisant.
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Le travail de mise en voix de Petite Princesse du Silence par Catherine Gautier est formidable. Sa diction pose l'histoire exactement comme il faut, naturellement habitée par le silence. Le personnage de Dia est d'une justesse éclatante, jusqu'à la note finale, car c'est une note, qui est splendide à mes yeux. Un vrai bonheur d'auteur. L'occasion de saluer conjointement et sincèrement le travail éditorial de Dany Grard (15K.fr).
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Le dossier, les extraits... et la nouvelle sur le site 15k...
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Vous pourrez également retrouver sur le site 15K “Tire, et tout viendra” publiée en 2017. Ces deux textes forment à mes yeux une oeuvre complète. Quand la petite princesse est le récit du vide qui se remplit, l'autre est le récit de l’obsession sans répit.
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Poissons
Un petit poème-histoire de poissons qui ont plongé dans un bol de pâtes. Merci à Marie-Philippe Deloche d'avoir ouvert ses pages à mon animal écaillé.