Mon beau miroir est le fruit d'une lente émergence. Je l'ai écrite une première fois il y a quatre ou cinq ans après la lecture d'une étude sur Talleyrand. Elle explore le rapport du politique à l'image et aux éléments de discours qui y sont liés. Cette nouvelle est au coeur d'un recueil de textes que je suis en train de terminer.
Textimage est une revue de recherche créée par des gens charmants (merci Aurélie, merci Olivier, merci Pierre-Olivier!!) pour explorer le rapport texte / image, des enluminures à internet; un sacré sujet.
Mon beau miroir est ici publiée sous une forme "diapositives". Il y a une centaine de diapos, aussi je vous conseille un verre de vin en accompagnement (si vous voulez je viens d'ouvrir un très bon Régnié 2007, à boire, et il y a de quoi remplir plusieurs verres encore), ou une infusion de sauge (le bol est à côté de moi, vide par contre), ou un maté (il en reste un fond dans la gourde que j'ai au boulot). Ou quelque chose comme ça.
Bref, cette nouvelle a trouvé sa place dans le cahier d'artistes du numéro de printemps. J'avoue que je ne l'ai pas encore lu, il est tout neuf et je n'ai pas ouvert assez de bouteilles. D'autant que Mbm côtoie des choses plutôt musclées, sans compter - carrément - une nouvelle inédite de Didier Daeninckx (dont il 'faut' lire le dérangeant La mort n'oublie personne).